ain't going nowhere
Je viens de finir "Survivor" de Palahniuk - évidemment, bof. Pataud, pas très energique, tout le monde s'ennuie et personne n'y croit (pas moi en tout cas). Le livre de trop, poussif et répétitif, comme un mauvais morceau de Stereolab (c'est de ma faute, j'aurais pu passer à quelqu'un d'autre); j'aime bien le personnage de Fertility, quand même, qui me rappelle quelqu'un. Jeudi soir, concert à Tours, avec Anthony au Café; on a agacé autant qu'ébloui, réussi à se faire entendre, peut être, pas de demi-mesure, et c'est bien; accueil nickel, jolie ambiance, final metal filtré avec Barbara et Anthony; le tput emballé comme un joli morceau des Byrds, "Draft Morning" (je me répète mais c'est exactement ça). Le reste n'est que rêves troublés et vacances doucement douloureuses; on en reparlera.
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