let there be doom
Insidieux et sirupeux, le mal bruyant distillé par la musique de Boris ("Absolutego", "Amplifier Worship") ou Teeths of Lion Rule The Divine ("Rampton") me scotche totalement à mes enceintes, qui vrombissent comme jamais le malaise et les joussives fragrances monotonales du drone, avec ce je ne sais quoi de violence éparse en plus... C'est une musique qui, paradoxalement et malgré ses intentions d'invoquer le glauque, me semble totalement sexuelle.
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