punchlines pour pourfendre l'air
Ca fait des années que je frémis en attendant l'avènement de CACOTOPIA ("And then it was over. A Few harpies and birds of Psapho circled overhead. But not a word, not a note, not a sound was ever heard on earth again") et d'un vrai silence tout chic, tout blanc; c'est certainement pour 2009; les listes de nos vies, jolis idoles, en sont des soldats paradoxaux; en les attendant sur un parvis, ici, deux trois dits d'un maître alchimiste de leurs agregats / substrats / accouchements, Alexander (Louis) Theroux, histoire de voir si ça permet de trancher dans le gros lard, de dissiper un peu la brûme. C'est tout extrait de la très grande déflagration black qu'il fit paraître malgré tout aux tous premiers jours de la présidence de Ronald Reagan, le pas tout à fait célèbre Darconville's Cat:
"everything is a subject on which there is not much to be said" (56)
"I WANT TO BE what I was when I wanted to be what I am now" (159)
"Rome wasn't burnt it a day" (j'ai perdu la page, je l'ai noté ailleurs)
et la plus belle, pour le style (c'est le temps qui veut ça)
"If I owned a hotel with a thousand rooms in it, I'd like to see her dead in every one of them" (651)rien de personnel;
Libellés : Alexander Theroux, cacotopia, punchlines
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