handbook of highway engineering
parcours; calculs; ai replongé avec délice dans tout matmos parce qu'en particulier, "the rose has teeth in the mouth of a beast" et, je devrais toujours garder mes bonnes idées pour le travail, mais ce que ces deux gens sont plus intelligents que vous, c'est effrayant, j'aime tout ce qu'ils ont fait, tout tout, j'ai aimé les voir pour la deuxième fois même si je m'en veux encore de ne pas leur avoir demandé un "julie", même si drew m'a dit "oh you're olamm" ça ne compte pas; il y en aura plus mais je me rappelle tout de même, avec fierté, avoir écrit, toujours pour le travail, que j'aimais ce groupe pour se le laisser aller à être lui-même et, c'est la meilleure nouvelle dans votre poche, ils se mettent dedans jusqu'au cou, jusqu'au sperme, et si vous ne riez pas jusqu'au sang quand vous entendrez ce qui se passe après les mots de valerie solanas qui dit "comanaging the shitpile" il se pourrait bien que je puisse rien faire pour vous; après, j'ai remarqué que j'aimais tout particulièrement edu lobo, celui de 70 produit par sergio mendes et juste réédité par rev-ola; dedans s'y trouve beaucoup de vitesse, et beaucoup de percolation de voix (sur ponteio, la lani hall de brasil '66, et pourtant je n'aime pas, pas du tout comment elle chante sur "look around") et d'ascensions soudaines comme on n'en trouve que chez gil, entre 1970 et 1974, sur le génial, génial "sal do sereno", ou peut-être, en rappel, "essa é pra tocar no radio"; en parlant de gil, d'ailleurs, j'ai remarqué comme j'aimais surtout quand il s'étirait élastique, avec tuti moreno dans les parages, est-ce que ça se fait encore d'aimer un batteur, mais je vous ai déjà parlé de dave witte, ou même en "vitrines", finalement il est peut-être celui qui manipulait mieux gal, de "lîngua do p" ou évidemment "barato total", j'éviterai de mentionner mes déconfitures de disques qui n'arrivent jamais du brésil et la tête de ma postière qui me voit revenir tous les jours, et le prochain post, si tout se passe bien, parlera encore de 1966, et sûrement de la manière dont la lucidité de douglas coupland affiche des escarres dans la peau de mon dos. ah si, quand même, ils sont trop aimés dans les blogs, mais en vrai, dorothée
est "pretty"
kimura kaela pour sa guitare
jaune
et le nouveau no-neck
le mot "fabuleux" à toutes les sauces mais pour une fois j'adhère
non, vraiment, je milite, parce qu'être littéral ce n'est pas être profond mais c'est toucher la peau, matmos, matmos, matmos!
2 commentaires:
oui, le Lobo-Mendes de 1970 est excellentissime... quant aux problèmes de disques brésiliens qui n'arrivent jamais, on n'est dans le même cas, je te rassure ! ;)
dorothé est "pretty" et matt est "singular" ;-)
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