ligne des espions
est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi il y a toujours cette ligne jaune entre les belles choses et les choses moches, je veux dire, au-delà d'oscar wilde et du sucre (c'est un jeune professeur qui m'a appris ça quand j'avais dix-sept ans, il était beau comme adrian brody et faisait pouffer mes copines), pourquoi, un jour sur deux, ce disque étrange d'ELO
quand c'était le bibelot de Roy Wood, pas encore celui de Jeff Lynne, vous savez, la suite de The Move et pas ce gros truc en plastoc qui fait rougir les nerds, pourquoi un jour sur deux c'est beau comme abbey road / c'est moche comme supertramp? (et venez pas me fatiguer avec supertramp supertramp ça se discute pas c'est juste rien) je veux dire: la pop des fois c'est les stades des fois c'est un truc lettré et pourtant c'est toujours une affaire de beatles et de brian eno elle est où la ligne? ce matin "no answer" m'a fatigué alors j'écoute encore une fois le disque de yoshimi et yuka dans les bois.
3 commentaires:
beau comme abbey road, moche comme supertramp franchement je ne vois pas la différence
mais comme en ce moment je bois de la zubrowska en écoutant "the a la menthe", je ferais sans doute mieux de me taire
je dis "non" mais ça n'engage que moi. mieux vaut boire du thé à la menthe en écoutant "zubrowska" (je prie pour qu'ils existent, je prie pour ton âme)
Venir te fatiguer avec Supertramp, c'est avoir envie de se fatiguer tout seul. Vraiment tout seul. Pure perte.
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