ça y est
je suis plus là.
"You are the ONLY person to visit this page. No one else will ever come here"
the liars à la boule noire: grand. ces gens là ont quelque chose de précis à dire. en première partie, nouvelle signature blast first qui fait le grand écart entre quickspace (bien) et du rock pathétique (pas bien) avec une nullasse en leader. hier a-m, long long version of "a silvery shelf", j'élabore quelque chose d'ambitieux avec pleinpleinplein de couches de sons pour h.s. dans lesquelles je pourrai cacher une batterie.
"His hands were no bigger than a four-year-old girl's. It was surreal. This massive authoritative figure, with a huge read meaty face and thick walrus mustache and dewlacks and a neck that spilled over the rim of his shirt-collar, and his hands were tiny and pink and hairless and butt-soft, delicate as shells"
Je ne mets quasiment jamais de chauffage, ce qui fait que je grelotte quand je sors de ma douche. Généralement, j'en profite pour faire des vocalises avec ma voix de tête, à la Prince, et comme je tremble ça fait des supers tremolo dans ma voix. playlist-"Shelter from the Storm" de Dylan, "Vampire Vultures" de John Fahey (Drag City Books), les émissions de Madame Psychosis dans "Infinite Jest", les jolis derrières.
au Japon. Yeah. Il me reste juste 6767832Z90O8756Z5E656Z989A609236783520982937 à faire d'ici là. Dont une petite playlist de saison:
PRIVACY, STORY OF THE BULB SUITE, PT. I/II/III + TAPE CODA
- le grésillement parasite au début de "guns of brixton" de the clash (0.00 - 0.05)
... parler de randy edelman, obscur tacheron compositeur, metteur en sons de pathétiques ressors dramatiques dans des films de seconde zone. ça doit pas être facime de le faire avec un budget limité (et donc des synthés et des trucs pour donner une petite teine ethnique cheap), en plus.
mehdikun et khanh-lin chan, mes deux choristes, entre deux ou trois choses importantes (qu'est-ce que je préfère chez les filles) m'ont presque redonné confiance en internet, mais c'était une escroquerie. je vous rassure c'est toujours aussi pourri, et je ne leur en veux pas (je suis content d'avoir passé un après-midi entier avec mehdi à rien faire et ça me rend heureux, quand même). jolies photos ce matin. j'ai écrit quelques mots étranges pour variable poney (la variable poney) dans ma galerie où il ne fait plus si froid, j'ai été témoin d'une étrange histoire dans laquelle un vigile n'osait pas quitter son poste pour aller voir sa femme accoucher, j'ai entamé mon projet de thèse quand la semaine dernière je traduisais un texte sur les six grands modes de rasage masculin (et je préfère) et je suis toujours attaché. Jusqu'à la prochaine déception, je me contenterais presque de mes "radio ethiopia", "idiot wind" et "infinite jest" (mais je ne vais pas tenir très longtemps alors il faut venir me voir). ah oui, j'oubliais presque: "hello spiral" va tout déchirer. j'ai déjà de la peine pour ceux qui vont passer à côté.
privacy III en version chantée devient tout simplement magique, grâce à la ligne de voix de zoé et au boulot incroyable que fournit steph pour le mixer. on m'a dit que ça ressemblait à du coldplay (et antho a préféré évoquer sigur ros, un air très méchant sur le visage), et ce n'est pas une mauvaise nouvelle. other: je dois aller travailler, "john wesley harding", Wolfgang Rihm par l'ensemble Recherche aux bouffes du nord lundi, "Biozombie" hier soir chez Kumichan, David Foster Wallace, "La République Invisible", "Atrocity Exhibition", le centre de ressources, "Lullaby" de Chuck Palahniuk, "Aberration of Starlight" de Sorrentino que j'ai du mettre en pause parce que j'ai moins de temps, privacy, privacy, privacy.