player_pianoblog

"You are the ONLY person to visit this page. No one else will ever come here"

vendredi, juin 25, 2004

dave witte

"My name is Dave and I play drums. I only fooled around with drums in high school, while I was also heavily into BMX freestyle and halfpipe riding. Around the day I wiped out hard upon attempting a 360 flyout onto the deck of the ramp (clearing it actually and falling off the back 8 feet into trees) my interest in music and drumming was really stating to win me over, so I stopped biking for something more extreme, Metal and Hardcore drumming! Before I started playing metal and fast, I learned with the basic AC/DC & Judas Priest beats, playing along to records with headphones, mastering and duplicating everything I heard, lesson free. Along came Slayer and I haven't been the same since. I played Reign in Blood with headphones everyday and drove my mother insane. From there things got faster and faster and so did I. My first effort to be heard was Human Remains in 1990 and that was only the tip of the iceberg for what I wanted to do and how I would grow personally and musically. These days after multiple bands and various tours around the world, I am still playing music and l am still in love with the idea. It will never die for me, through good and bad times, it's my calling."

elle est vraiment connue celle-là?

"when god created man she was only joking"

stp

arrete de sauter

(je parle à ma platine cd, triste)

mercredi, juin 23, 2004

Lists

"Lists only spell out the things that can be taken away from us by moths and thieves" (D.Coupland)

by the way

le mastering de Hello Spiral est terminé. Hello Spiral est prêt à dévoiler sa SALE FACE DE RAT au monde. Hello Spiral s'en va. Hello Spiral va passer comme une lettre à la poste, sous les yeux de tout le monde, comme un soupir. Et puis disparaître, "a little too little, a little too late".

you wish it was sunny

but it's not, ah ah ah

(bis)

lundi, juin 21, 2004

no matter what the weather

xtc "playground", converge "caring and killing", "petitioning the empty sky", "jane doe", et deux livres en forme de The Sound and The Fury : Aberration of Starlight de Gilbert Sorrentino et Hey Nostradamus de Douglas Coupland, totalement par hasard, le monde fait bien son boulot de monde.

samedi, juin 19, 2004

france culture, 12/6/04, so you can see




more there *
and there

blood and fire

STOP MESSIN' AROUND
Just Get "Four Principles on Ireland and other pieces" by Cornelius Cardew.

mardi, juin 15, 2004

(d'ailleurs, quand je pense que)

certains ne connaissent pas le bonheur absolu de 'Come Together' (Primal Scream) à fond les matins ensoleillés au sortir de la douche, je les plains.

funny

Bobby Gillespie fait de la figuration dans Harry Potter et le prisonnier de Machinchose, je jure que je l'ai reconnu.
Du coup, là c'est "Movin' on Up" et ma journée démarre pas mal.

lundi, juin 14, 2004

black'n'mate @ france culture'

(diffusion le 10 ou le 24 juillet)*


allez y petez moi la tete crachez-moi dessus écrasez moi les doigts des mains faites craquer les os éclatez moi les cervicales moi je vous peterai le nez je vous casserai la colonne je vous ferai sentir les flammes des enfers

i love, i adore, i abbhore you, black'n'mate

vomit

y'a un type qui fait un solo de basse sur un très mauvais morceau de jazz de ray charles à la télé, là
c'est pas gentil, comme hommage

(je m'en branle de ray charles, mais non, vraiment, c'est pas sympa)

dimanche, juin 13, 2004

perverted

jeudi, juin 10, 2004

what i like

when it's hot, burnt by the sun "soundtrack to the personal revolution" & "the perfect is the enemy of the good", nasum "human 2.0", y.m.o. "naughty boys", cathedral "forest of equilibrium", wilco "a ghost is born", fugazi "the argument", bob dylan "blood on the tapes", the blood brothers "march on electric children", converge "jane doe".

what i hate

the most when it's hot are the constantly moisty palms of my hands
i must be washing them approx 123 times a day.

lundi, juin 07, 2004

I've got Powers too

Une écolière japonaise âgée de 11 ans, vexée des propos tenus sur le Web par une de ses camarades, l'a tuée mercredi dernier. La petite Satomi Mitarai, 12 ans, a été égorgée au cutter par une camarade de classe dans une école primaire du sud-ouest du Japon. Pour expliquer son geste à la police, la meurtrière a parlé de ce que "Satomi avait écrit (sur elle) sur son site Internet". Elle aurait demandé à la victime d'arrêter de commenter son apparence sur le Web. Les deux collégiennes avaient chacune leur site. Une polémique sur les dangers du Net a éclaté au Japon (où 60% des enfants de 6 à 12 ans se connectent) dès le lendemain dans la presse nippone. Le média électronique est accusé de troubler la santé mentale des enfants et de rompre la communication réelle. Un manuel à l'usage des enfants utilisant le Web a été publié par une association japonaise, dans lequel il est noté : "Sur Internet, tu ne peux pas entendre la voix de tes amis ou voir leur visage... Ce que tu as écrit en blaguant peut mettre ton ami en colère".

Richard Powers

Son écriture lézarde en torticolis obscurs, à la limite d'un illisible qui fait justement toute son âme, qui attire irrestistiblement dans un double mouvement de fascination et d'intoxication, frotte le néant, le non-sens, juste derrière la surface, et, au recto, un univers tout juste palpable de langue furieuse, de références passionnantes, de pur bonheur littéraire. Powers vous met dans la confidence littéraire met garde ses distances. Il vous fait croire à un eden empathique (ses personnages ont de très belles âmes, avec des formes précises, des odeurs magnifiquement dessinées, comme chez Lodge) et vous traîne jusqu'au bout de ses phrases comme il vous tient au dessus du vide, il vous pousse en avant jusqu'au coeur de ses romans en faisant mine d'esquisser des histoires, mais il n'y a rien que sa langue dans son dédale, ses diagrammes d'idées enroulées, ses correspondances gonflées à l'hélium, et c'est ça qui est formidable. Richard Powers est un génie sans distinction, qui travaille pour rien (contrairement à un Vollmann, par exemple, qui consacre tout entier son ultime talent littéraire, sorte d'extremité monstreuse, à des causes idéologiques précises) à part pour faire avancer l'art littéraire. Quand on pense qu'il existe des gens, par chez nous, qui sont tellement obnubilés par leur propre histoire littéraire, qu'ils en arrivent à penser que l'art du roman est moribond ou que les américains sont juste bonds à écrire des pavés de 600 pages. Bande de connards illettrés.

à l'attention de la Section Amour

Je suis difficile à contenter en ce moment. Pardonnez mes offences.

Contraintes Sonores

"Des Canards avec l'accent de la ville" (in Libération du 5/6/04)
Les canards de Londres parlent avec un accent différent de ceux de Cornouailles, ont noté des chercheurs britanniques. Le cancanement des premiers est fort et guttural, évoquant des rires, tandis que celui des seconds est long et doux. Les ornithologues savent que les populations d'oiseau ont des accents variables, le langage étant le fruit d'un apprentissage "familial", mais c'est la première fois qu'une variation est corrélée aux contraintes sonores de la ville".

dimanche, juin 06, 2004

cool

http://www.livejournal.com/users/imomus/
Nick (Momus) a écrit un joli texte sur Shoboshobo et ses succédanés incestueux
il parle même de ce player_piano.

mercredi, juin 02, 2004

it ain't me babe

Go 'way from my window,
Leave at your own chosen speed.
I'm not the one you want, babe,
I'm not the one you need.
You say you're lookin' for someone
Never weak but always strong,
To protect you an' defend you
Whether you are right or wrong,
Someone to open each and every door,
But it ain't me, babe,
No, no, no, it ain't me, babe,
It ain't me you're lookin' for, babe.

Go lightly from the ledge, babe,
Go lightly on the ground.
I'm not the one you want, babe,
I will only let you down.
You say you're lookin' for someone
Who will promise never to part,
Someone to close his eyes for you,
Someone to close his heart,
Someone who will die for you an' more,
But it ain't me, babe,
No, no, no, it ain't me, babe,
It ain't me you're lookin' for, babe.

Go melt back into the night, babe,
Everything inside is made of stone.
There's nothing in here moving
An' anyway I'm not alone.
You say you're looking for someone
Who'll pick you up each time you fall,
To gather flowers constantly
An' to come each time you call,
A lover for your life an' nothing more,
But it ain't me, babe,
No, no, no, it ain't me, babe,
It ain't me you're lookin' for, babe.